▬ contexte ; nom du forum

••• Préambule ~ ‹ le destin gagne toujours ›
« Les Hommes naissent tous libres et égaux.»
« NOM DU FORUM »

Le bonheur est une illusion d'optique, deux miroirs qui se renvoient la même image à l'infini. N'essayez pas de remonter à l'image d'origine, il n'y en pas

tu cesseras d'être déçu quand tu auras cessé d'espérer
Chacun d'entre nous avons un but dans la vie. Certains rêvent d'être le patron d'une grande entreprise immobilière (pour faire face à la crise financière). Certains veulent aimer un être cher, faire en sorte que le parfait amour soit éternelle. Certains désirent l'argent, et la célébrité, être reconnu dans le monde entier pour ce que l'on est ou (ou pas!). D'autres gâchent leurs vies en passant leurs existences en prison. Mais la plupart d'entre nous, nous désiront le bonheur, car nous sommes tous venus au monde dans l'espoir d'être un jour l'être parfait. Nous savons que la vie est faîtes de hauts et de bas, de bonheur et de malheur. Chacun à notre façon, nous essayons de s'accrocher à un monde plus grand chaque jours. Donner un sens à sa vie, est-ce vraiment facile ? Regarder le coeur de chaque personnes autour de vous ; ils ont tous une vision différente de ce qu'est la vie, et pourtant, nous sommes tous les mêmes. Si certains passent leurs journées à faire des entretiens d'embauches pour espèrer le travail de leur rêve, d'autres se consentrent déjà sur leur avenir. Chacun a son monde, le tout est de planter ses racines dans la terre qui nous convient. La différence fait la richesse du monde. Et la joie d'un jour, le mal d'un autre, le sourire, une larme. Nous sommes tous des êtres humains ; nous connaissons la vie, le bonheur, le malheur, l'échec, l'amour, le désespoir, la délivrance, la renaissance puis l'inévitable mort. « Dépêchez-vous de vivre, dépêchez-vous d'aimer. Nous croyons toujours avoir le temps, mais ce n'est pas vrai. Un jour nous prenons conscience que nous avons franchi le point de non-retour, ce moment où l'on ne peut plus revenir en arrière. Ce moment où l'on se rend compte qu'on a laissé passer sa chance », Car nous écrivons sans cesse un nouveau chapitre de l'histoire, le tout est de pouvoir commencer à inventer l'avenir que nous réserve la vie.

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▬ douce france, cher pays de mon enfance

Ils ne savent pas la chance qu’ils ont tout ceux-là ! Ils marchent, ils respirent, ils courent, ils s’engueulent, ils sont en retard... Ils savent pas la chance qu’ils ont ! Être juste comme ça, insouciant dans Paris ... Et puis de toute façon, quoi qu'on fase, quoi qu'on dise on est toujours seule. La solitude nous ronge ; mais on se bat chaque jours pour une vie meilleure car l'on ne sait pas de quoi demain sera fait !

LA FRANCE. O, quelle France ! Paris. Quelle grande ville. Le trin trin quotidien pour des parisiens : vous devez réparer le grille-pain avant que votre femme rentre à la maison, Lola, votre voisine vient de vous annoncer qu'elle participe à des réunions pour des alcooliques anonymes – pas si anonymes que ça finalement – Lilly, votre fille vient de se faire percer la langue – bonjour la galère – Votre fils, Guillaume, se tape sa professeur de musique – on se demande bien de qui il tient – Et vous ? Vous trompez votre femme avec votre collègue, Katherine, elle-même mariée depuis plus de 10 ans à l'un des meilleurs journalistes de France, en même temps, vous avez embrassez une lycéenne de 17 ans que vous avez rencontrez à la fête de l'école de votre fils de 5 ans. Votre femme qui saura un jour ou l'autre la nouvelle – par téléphone, courrier électronique (et oui, internet est sacré) ou encore par bouche à oreille – divorcera en demandant la garde de vos trois enfants, et en laissant intentionnellement sur votre bureau de travail un exemplaire du livre du Pire Mai de l'Univers. Le tout ajouté à une vie pimentée de stresse quotidien entre le boulot, la famille, le dodo, le métro, et .. les enfants. Si la vie parisienne ne ressemble en rien à ce que ne cesse de montrer les films français, la vie ne satisfait personne, même pas les plus aisés. La preuve ; Juliette Carpier, l'ex-adolescence de la haute bourgeoisie, qui passait son temps libre entre les lits d'hôtels avec des hommes de trente ans, son magazine favori, Voici, et son petit-ami, Kevin, ne mène pas une vie sans soucis. Elle qui croyait être à l'abri de la crise financière, est tombée de haut lorsqu'elle a appris – par son magazine préféré – que sa mère avait dépensé toute la fortune qu'elle devait héritée après le décès de son père en 2003. Scandales sur scandales, Paris n'est pas une ville de tout repos ; si la vie va et vient, le malheur court toujours. Prenez, la voisine du 3ème Étage, personne ne sait qu'elle est atteinte d'un cancer des poumons après avoir passer toute sa vie à fumer des cigares, et pourtant, il ne lui reste plus que quelques jours à vivre. Et puis, le petit Benji, malade depuis sa naissance d'une terrible maladie que personne n'avait soupçonné avant ses six ans. Et aussi, la famille PetitJean, qui s'est retrouvé au chômage du jour au lendemain, sans emploie et à peine de quoi manger pour cinq. Et certains parisiens ne sont pas des plus chanceux ; si certains sont pauvres et beaux, d'autres sont riches et laids. Que voulez-vous, la vie ne réserve pas que des bonnes surprises aux comptes en banques les plus remplies ? Par exemple, Olivia Laurier, célèbre auteur de romans policier, s'est retrouvé enceinte de son éditeur à l'âge de 43 ans, alors qu'elle essayait temps bien que mal d'en avoir un avec son mari depuis 15 ans. Non, non, non, vous ne rêvez pas. Douce France .. Douce France .. Mon Oeil. Et tout ces sens abris qui envahissent les rues la nuit ? Et tout ces pauvres gens qui sont obligés d'aller au Restos du Coeur car ils viennent de perdre l'emploi de leur rêve. Mais derrière cette ambiance noirâtre, certains dansent et chantent, comme si la crise ne l'est avait pas touché, d'un poil ! Sous le nez de cette pauvreté froide et vertueuse, les riches sortent la nuit pour dépenser leur argent dans les fêtes branchées de la capitale. Gucci sort des bracelets en or, les filles de 16 ans s'habillent en grande dames en polluant l'avenue Montaigne de leurs talons hauts – pour se la jouer grande et fine – les étudiantes s'épilent le maillot en espérant être dépuceler le lendemain – tu parles ! - leurs parents leurs offrent un week-end sur un yacht à Ibiza et les fils à papa déambulent dans les soirées chics, histoire de se la péter. Si c'est vraiment ça, Paris, à quoi bon y vivre ? Mais la fête, et l'alcool, et l'amour, y sont toujours présentes. Et la vie, et la réussite, et l'échec aussi.

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▬ près de la Porte Saint-Denis sous les ponts de Paris, j'ai deux amours, mon Paris !

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Il y a dans notre âme des choses auxquelles nous ne savons pas combien nous tenons. Ou bien, si nous vivons sans elles, c'est parce que nous remettons de jour en jour, par peur d'échouer ou de souffrier, d'entre en leur posession.

Regarde derrière-toi ; la Tour Eifel illumine la ville de ses couleurs éclaires. La nuit, les parisiens dansent, chantent et font la fête. Pour les plus riches, c'est une balade sur les champs élysées dans une limousine classe et chic comme on l'est aime, une soirée dans une boîte de nuit branchée de la capitale pour danser jusqu'à l'aube, à grimper sur le toit de l'internat pour boire la belle bouteille de champagne de papa tout droit arrivée de New-York, crier dans les escaliers de l'immeuble pour faire réveiller les voisins, et pourquoi pas un diné dans un restaurant les plus côtés de la ville . Pour les plus modestes, c'est un tour de manège sur la grande roue à la fête foraine avec la petite dernière dans la poussette qui tente pour la première fois de goûter au plaisir de la vie, un couple quadragénaire qui fait le tour des environs pour espérer un jour pouvoir partir voyager à l'étranger, une femme seule qui vient juste de divorcer qui essaye de se changer les idées en marchant dans les rues mal fameuses, et une fillette qui rigole car elle porte les hauts talons de sa mère qui ne s'en est pas rendu compte. Et il y a ceux qui ne pensent qu'à trouver un nouveau travail, car ils viennent d'apprendre leur licenciement alors ils passent leur nuit sur le net pour surveiller un message dans leur boîte électronique ANPE, espérant qu'un mail bienveillant viendra y être poster. Il y a cet enfant qui pleure parce qu'il n'a pas mangé depuis deux jours, ses parents n'aillant pas assez d'argent pour le nourrir, et cette femme démuni qui ne sait quoi faire de sa vie. Et puis surtout, il y a ceux qui se battent chaque jours, qu'il fasse nuit ou qu'il fasse jour, ils se battent pour sortir de la galère. Ils font de leur mieux pour réussir et se relever d'un chemin difficile. Seuls eux sont les maîtres de leur destin ! Qu'on soit riche, pauvre, noir ou blanc, jeune ou vieux, la vie est toujours là pour vous quoi qu'il arrive. Et si ce n'est pas un baiser qui vient se coller sur vos lèvres après une soirée mouvementée, et si ce n'est pas un sourire qui tente de vous rassurer, et si ce n'est pas une larme qui coule sur votre joue car plus rien ne va, et si ce n'est pas une belle histoire racontée, et même si ce n'est pas une nouvelle existence, le destin finit toujours par gagné.

▬ Nous prendrons le temps de vivre, d'être libres, mon amour

Que me reste-t-il, de t'avoir aimée ? Reste que ma voix, sans écho soudain, restent que mes doigts, qui n'aggripent plus rien, reste que ma peau, qui cherche tes mains , et surtout la peur de t'aimer encore, puisque demain est presque mort.

Et puis l'amour dans tout ça ? Paris est sans doute la ville de tout les désirs, de tout les plaisirs. Si la plupart de la jeunesse dorée préfére les boîtes chics pour s'amuser le soir, d'autres préférent l'amour, ou tout simplement aimer. Et si par hasard vous rencontrez l'âme sœur, et si par hasard vous trouvez l'être cher ; et si par malheur, tout se terminait mal ? Car aimer quelqu'un, c'est le dépouiller de son âme, c'est lui apprendre ainsi - dans ce rapt - combien son âme est grande, inépuisable et claire. Nous souffrons tous de cela ; de ne pas être assez volés.Nous souffrons des forces qui sont en nous, et que personne ne sait piller, pour ne pas les faire découvrir. Mais nous souffrons plus encore lorsque notre âme est tant dépouiller qu'elle nous empêche de vivre. Et quand on n'arrive plus à vivre, c'est l'enfer qui nous gagne. . La vie de chacun d'entre nous n'est pas une tentative d'aimer. Elle est l'unique essai. Parce que l'on dit toujours que le premier grand amour est toujours le dernier ; alors qu'attendre de la vie si l'amour vous a déjà trahi ? L'amour, un petit mot de cinq lettres qui veux pourtant tout dire ; quand elle sourit, il sourit, le vent se calme, tout devient normal. Dans la joie et la douleur, la richesse et la pauvreté, la vie et la mort … les amants se promettent de s'aimer jusqu'à la fin de leur vie. Et si par mal, votre vie s'arrête à demi-chemin, que vous laissez seule votre cher et tendre amoureux, qu'allez-vous faire ? La compagnie des anges vient vous dire que la fin de votre vie approche, et que pour mieux s'envoler, un peu plus léger, vos cheveux dans le vent, avant le déluge, avant l'ombre, quittait la route puis plus rien, c'est fini. Des pleures et des larmes, le sentiment d'avoir tout abandonné, d'avoir lâché prise. Puis une souffrance au creux du cœur , qui saigne de jour en jour et qui ne guérira sans doute jamais la douleur. Tu vois, pour aimer à Paris, il faut pouvoir souffrir, vivre sans la personne qu'on aime. Et si la mort ne s'est pas encore proclamé, faîtes en sorte de profiter de chaque ainsi de votre vie, comme si c'était le dernier.

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▬ je m'baladais sur l'avenue le cœur ouvert à l'inconnu

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Un petit pays, pour une grande capitale. Quelle chance ! Paris ; la ville de la mode, la ville de l'amour, la ville des coeurs brisées, la ville des bons pains chauds tout droit arrivée du boulanger voisin. Au soleil, sous la pluie, à midi, ou a minuit, il y a tout ce que vous voudrez ! Pour une superficie de 105,40 km², la ville acceuille près de 2 181 371 habitants ; qu'on soit français, anglais, brittanique, espagnol, portugais, brésilien ou autres .. Paris aura toujours une place pour nous ! Au coeur de la Seine qui traverse la ville, des bateaux mouches viennent vous faire découvrir l'une des villes magiques du monde ; des monuments historiques, une histoire unique, des habitants tous différents l'un et des autres. Et si en Eté, Paris Plage pose ses valises pour satisfaire les plaisirs de ses habitants, le climat parisien est très varié ; si les hivers doux enclenchent des neiges, les étés chauds font sués les parisiens. Au fin fond de ses appartements de luxe réservé aux plus fortunés, la majorité de la population habite dans une ou deux pièces maximum puisque les loyés de Paris sont de 12 600 euros par mètre carré, ce qui revient à très cher pour une famille modeste. Cependant, Paris est aussi la ville de la mode et du luxe ; vous connaisez sans doute, Dior, Chanel, Yves Saint Laurent et j'en passe. Ils ont tous donné à Paris, une touche original et luxeuse. Et puis, l'activité ne manque pas ; entre le quartier d'affaire Paris-Nord II et l'aéroport Paris-Charles-de-Gaulle, les habitants sont loin d'être délaissés. Quoi qu'il arrive à Paris, qu'il fasse beau ou pas, qu'il fasse jour ou nuit, Paris sera toujours Paris.

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